John PAVAL

John Paval a été choisi encore et encore par des meilleurs réalisateurs français et internationaux pour jouer à coté des vedettes bien connues. En 2020-2021 dans "Goliath" de Frédéric Tellier (toujours en tournage) il joue le puissant chef d'une boite internationale des lobbyists, Thomas Moore, à coté de ses employés Pierre Niney et Laurent Stocker: En 2019 il chantait le role d'un inspecteur qui interroge le suspect Adam Driver dans le film musical "Annette" de l'iconoclaste Leos Carax. Pour Pablo Laraine, il a incarné John Walsh, docteur privé de Jackie Kennedy (Natalie Portman) dans "Jackie". Pour Costa Gavras, il était Paul Frost, dans "Le Capital", le financier de Goldman Sachs qui, assisté de Gabriel Byrne, met la main sur la plus grande banque française géré par Gad Elmaleh. Et il a joué une diversité de roles pour d'autres réalisateurs renommés comme Raoul Peck (un flic NewYorkais dans "Corps Plongés"), Robert Monthoulis (un grand producteur hollywoodéen dans "Lilly's Story"), Etienne Chatillez (financier américain à Paris dans "Tanguy"), James Ivory ("Le divorce"), et Franck Appréderis (régisseur séducteur dans "Un et Un Font Six" pour TF1). Sur scène, John Paval a éclaté sur la grande scène dans le role de Harrison Howell dans "Kiss Me Kate" au Théâtre du Chatelet ainsi qu'au Grand Théâtre de Luxembourg. Avant, on l'avait vu dans les roles principaux de « Docteur Glas » de d'Hjalmar Soderberg (Festival d'Avignon, 2011-2013, Manufacture des Abbesses 2013) et Créon dans l'Antigone de Jean Anouilh au Théâtre des Carmes (Avignon 2014). John est ténor lyrique avec un répertoire des chansons d'art et lieder du 19ème et début du 20ème siècle. "On n'oubliera pas la prestation de John Paval, dont le soupçon d'accent américain renforce le charme d'une voix toujours interrogative qu'il sait utiliser autant pour chanter, pour s'emporter ou pour rassurer." Philippe Person, Le Nouvel Observateur; "...un comédien exigeant jusque dans les moindres travers du personnage... John Paval, une présence remarquable." Philippe Delhumeau, Le Théatrothèque; "Il aura suffi à John Paval d'une seconde, d'un sourire, d'un grain de voix, pour nous emporter dans l'univers de la pièce." - Marion Richez, Théâtral Magazine