LAÏKA, auteure, compositrice et chanteuse, dédie son chant aux voix qui l’ont émue et qui ont fait d’elle l’artiste qu’elle est devenue.
Sa présence scénique au plus près de l’intime, son art subtil du phrasé, son engagement, en font une digne héritière de ces femmes d’exception, artistes hors-normes qui ont écrit l’histoire du jazz vocal.
Elles ont pour nom : Billie Holiday, Shirley Horn, Abbey Lincoln et Carmen McRae.
En belle compagnie, Roy Hargrove, Robert Glasper, Meshell Ndegeocello... LAÏKA enregistre quatre albums qui feront d’elle la première chanteuse française à être signée sur le label Verve Records d’Universal Music Group. À l’instar d’un répertoire en constante évolution, Laïka cultive les apparitions éclectiques : des concerts dans des clubs ou festivals, dans un musée, une ambassade, un hôtel particulier ou un théâtre, aussi bien en France qu’à l’étranger.
Elle participe à l’enregistrement Cocktails At Dusk du pianiste Ran Blake, à l'hommage Jazz Loves Disney aux côtés de Gregory Porter et Jamie Cullum, ainsi qu’au concert anniversaire des 70 ans de la chanteuse Joni Mitchell au Massey Hall (Toronto).
Choisie comme muse européenne, lors de l’Exposition Universelle d’Aïchi, Japon, par le créateur japonais Issey Miyake, Laïka, minimale et généreuse, a toujours chanté l’amour, l’union et la rupture.
Parallèlement, elle poursuit plusieurs aventures théâtrales en tant que comédienne chanteuse, interprétant notamment Madame Zajj dans A Drum Is A Woman, comédie musicale mise en scène par Jérôme Savary (Théâtre National de Chaillot). Elle est aussi Celestina del Sol dans l’opéra jazz La Tectonique des Nuages, composé par Laurent Cugny et mis en scène par François Rancillac (Théâtre de la Ville & Opéras de Nantes et Angers).