Je recherche des figurants, hommes entre 30 et 40 ans, rémunérés Disponible sur Paris entre le 10 et le 25 juin. Merci de ne pas reproduire cette annonce sans mon autorisation sur un autre site. LE DOCTAMBULE Note d'intention sur la mise en scène Imaginez un polar crépusculaire. Non pas hérité du bitume ardent d'Hollywood boulevard mais bien de notre temps, un polar violent, sans concession, dégageant une parfaite sérénité. A l'image de ce type qui, au beau milieu du film, s'écroule sur les quais de Seine, trois balles dans le ventre. A l'image de son titre, qui suggère les turpitudes de la vie nocturne, dans des recoins funèbres. Alors, l'intrigue pourrait se résumer à une impitoyable guerre des gangs entre différentes mafias parisiennes. Mais "Le Doctambule" n'est pas un polar de plus. C'est un exercice de style, qui a pris pour objet le genre cinématographique du polar comme, autrefois, les poètes exerçaient leur art en célébrant la beauté de telle ou telle femme par métaphore. "Doctambule" est un poème court, un Haïku, montrant un minimum pour nous conduire à un maximum de sensations et de réflexions. La mise en scène très épurée, inspirée des estampes japonaises rend hommage au cinema de Melville et Kurosawa. D'abord nous perdre pour mieux nous reprendre. De fait, le premier quart d'heure du scénario se veut confus. Successions de conseils de guerre, de réunions de mafieux qui parlent d'affaires dont nous ne savons rien. Enchevêtrements de visages impassibles, aussi anonymes que sont les bureaux, les tripots et les chantiers où tous se retrouvent sans que le spectateur ne comprennent vraiment pourquoi. Et cela n'a aucune importance. Car il n'y a pas, dans l'histoire, d'autre mystère que le cœur humain. Postuler par email de la part de Nawak à : michel.lagrandeheurebleue@gmail.com
Homme 18 - 99 ans
Paris
Tarif syndical
Je recherche des figurants, hommes entre 30 et 40 ans, rémunérés Disponible sur Paris entre le 10 et le 25 juin. Merci de ne pas reproduire cette annonce sans mon autorisation sur un autre site. LE DOCTAMBULE Note d'intention sur la mise en scène Imaginez un polar crépusculaire. Non pas hérité du bitume ardent d'Hollywood boulevard mais bien de notre temps, un polar violent, sans concession, dégageant une parfaite sérénité. A l'image de ce type qui, au beau milieu du film, s'écroule sur les quais de Seine, trois balles dans le ventre. A l'image de son titre, qui suggère les turpitudes de la vie nocturne, dans des recoins funèbres. Alors, l'intrigue pourrait se résumer à une impitoyable guerre des gangs entre différentes mafias parisiennes. Mais "Le Doctambule" n'est pas un polar de plus. C'est un exercice de style, qui a pris pour objet le genre cinématographique du polar comme, autrefois, les poètes exerçaient leur art en célébrant la beauté de telle ou telle femme par métaphore. "Doctambule" est un poème court, un Haïku, montrant un minimum pour nous conduire à un maximum de sensations et de réflexions. La mise en scène très épurée, inspirée des estampes japonaises rend hommage au cinema de Melville et Kurosawa. D'abord nous perdre pour mieux nous reprendre. De fait, le premier quart d'heure du scénario se veut confus. Successions de conseils de guerre, de réunions de mafieux qui parlent d'affaires dont nous ne savons rien. Enchevêtrements de visages impassibles, aussi anonymes que sont les bureaux, les tripots et les chantiers où tous se retrouvent sans que le spectateur ne comprennent vraiment pourquoi. Et cela n'a aucune importance. Car il n'y a pas, dans l'histoire, d'autre mystère que le cœur humain. Postuler par email de la part de Nawak à : michel.lagrandeheurebleue@gmail.com